Deux ans après l’adoption de la loi EGalim[1], un collectif de 28 syndicats et associations publie un bilan dont le constat d’échec est sans appel : la quasi-totalité des indicateurs est au rouge et des reculs sont à noter. Presque aucune des ambitions et bonnes intentions déclarées en grande pompe n’ont été suivies d’effet. Signataires
Pourquoi une aussi longue absence ? La préparation du PNSE4 s’est arrêtée sans explication en juin 2019. Le Groupe Santé Environnement n’a pas tenu de réunion entre juillet 2019 et juillet 2020. La séance de juillet 2020 a été consacrée à la question des zoonoses sans évoquer la préparation du PNSE 4. De la même
Face aux promesses non tenues des industriels, nous exigeons l’interdiction par la loi de la pub pour les produits alimentaires déséquilibrés. Treize ans après leur premier appel pour un encadrement de la publicité télévisée, la FCPE (Fédération des Conseils de Parents d’Elèves), la PEEP (Fédération des parents d’élèves de l’enseignement public), Familles Rurales, la FFD (Fédération
Comment est-ce encore possible, en 2020, de vouloir protéger la grossesse et la petite enfance sans une politique ambitieuse de Santé Environnementale ? On attendait beaucoup du rapport de la commission présidée par Boris Cyrulnik. La phrase qui ouvre le rapport « les 1000 jours là où tout commence » permettait de penser que cet enjeu des
« Préparer la France de 2030 » c’est faire reculer l’épidémie de maladies chroniques ! « Il y aura d’autres crises sanitaires ». Personne ne conteste le diagnostic d’Emmanuel Macron dans son intervention Post-Covid. On pouvait logiquement s’attendre que ce soit un axe majeur du plan présenté le 3/9/20. D’autant plus qu’Emmanuel Macron présentait ainsi cette
Le Ministre des Solidarités et de la Santé Olivier Véran, a proposé la tenue d’un « Ségur de la Santé publique » dans son discours de conclusion du « Ségur de la Santé » le 21 juillet 2020. Nous, acteurs associatifs unis pour la prévention et la promotion de la santé rassemblant élus, professionnels impliqués dans des dynamiques territoriales de
Président du Réseau Environnement Santé, le toxicologue André Cicolella s’alarme de voir le nombre de maladies chroniques exploser en France. Ce qui n’est pas une bonne nouvelle en période de pandémie de Covid-19. Communiqué N°10 du 17/07/2020 → La santé environnementale ne peut pas être la grande oubliée du post-COVID Communiqué N°9 du 10/07/2020 →
Le rapport des députées Claire PITOLLAT et Laurianne ROSSI sur les perturbateurs endocriniens présents dans les plastiques présente une très bonne synthèse de l’enjeu des perturbateurs endocriniens, pas seulement dans les matières plastiques mais plus largement dans les diverses sources d’exposition de la population. En estimant que l’exposition aux Perturbateurs Endocriniens (PE) est « très préoccupante »,
Le 14 novembre 2019. Le mystère autour des causes de cas groupés de naissances de bébés souffrant d’ATMS (agénésies transverses des membres supérieurs) dans plusieurs régions françaises sera-t-il un jour éclairci ? Rien n’est moins sûr à l’issue de la réunion du comité d’orientation et de suivi (COS) qui s’est tenue le 5 novembre. Alors
Il aura fallu attendre 5 jours pour avoir la première communication publique sur la nature des produits présents sur le site de LUBRIZOL. Délai très surprenant, car s’agissant d’un site SEVESO, celle-ci est en possession des autorités et c’est cette connaissance qui guide le plan de gestion du risque. Le principal problème dans un incendie

LUBRIZOL = UN SEVESO FRANÇAIS ?

Le 10 juillet 1976, l’usine ICMESA du groupe Givaudan, propriété de la multinationale suisse Hoffman-Laroche, située à proximité de la commune de Seveso près de Milan, était le lieu d’un grave accident industriel. Un réacteur fabriquant la substance 2,4,5T (2,4,5 Trichlorophénol) explosait sous l’effet d’une surchauffe libérant un nuage toxique, dont les retombées contamineront 18
The results of the Esteban study published by Santé publique France confirm the general contamination of the population by endocrine disrupters. Contrary to what is claimed by Santé publique France, the health risk associated with endocrine disrupters is clearly established. There are thousands of experimental studies and many human studies available. For example, female rats
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